Mes premiers mois à Reims et la MJC
Arriver dans une nouvelle ville, dans un pays qui n’est pas le tien, est toujours une aventure. Pour moi, heureusement, ce n’était pas la première fois, car j’avais fait mon Erasmus pendant un an à Varsovie, en Pologne. Heureusement, avant mon arrivée, je déjà parlais un peu de Français, que je peux vous assurer s’est beaucoup améliorée.
J’ai mal commencé, parce que j’ai raté le train à Charles de Gaulle et j’ai dû attendre 2h jusqu’à ce que le prochain train parte pour Reims. Mais à partir de là, tout s’est bien passé. La FRMJC m’a aidé dans mes premières semaines, au cours desquelles j’ai été présenté à toute l’équipe de Reims et à Aÿ, où je travaillais les mercredis et jeudis. Aussi lors du partage d’un appartement avec Christina, je n’étais pas seul, c’est quelque chose qui est apprécié.
Les premiers mois, en ce qui concerne le travail, je devais faire l’observation et l’apprentissage, de sorte que les responsabilités n’étaient pas nombreuses. Cependant, j’ai participé à toutes les activités qui ont été faites. Au FRMJC, à Reims, l’apprentissage était plus théorique, afin de connaître l’association en profondeur. Pendant mon passage à Aÿ, c’était plus pratique, grâce à l’éducation sociale, avec des enfants de 6 à 11 ans. Avec eux, nous avons effectué des activités physiques et récréatives comme un processus d’interaction sociale. De même, ils étaient accompagnés à l’heure du déjeuner.
De plus, j’ai commencé le cours de français à l’Université de Reims Champagne-Ardenne, ce qui m’a beaucoup aidé à améliorer la langue. Ainsi que tous les jeudis de classe à Aÿ, avec Annie. Si vous ajoutez à cela la communication constante dans Français au travail et avec quelques amis que j’ai fait, je peux dire, une autre fois, que mon Français s’est amélioré.
Les premiers séminaires sont également arrivés, avec des départs à Narbonne, où nous rencontrerions plus de volontaires de France. Là, nous avons passé 5 jours, où nous nous sommes fait des amis et on nous a donné autant d’informations que possible sur le volontariat. Plus tard, nous avons eu un autre séminaire, à Troyes, où, en plus des volontaires internationaux, il y avait aussi des volontaires françaises. Encore une fois, nous avons passé un bon moment et nous nous sommes faits de bons amis.
C’est à partir de janvier que j’ai commencé à assumer davantage de responsabilités dans le projet. Il a non seulement accompagné, mais proposé et dirigé des activités, ainsi que d’offrir des cours d’espagnol pour 1 heure par semaine. J’ai aussi commencé un projet dans lequel j’ai organisé une excursion en Andalousie, pour 12 adolescents entre 15 et 17 ans, pour le mois de juillet. Nous devions y visiter s visite Séville, Cordoue, Grenade et Malaga, et faire à la fois des visites et des activités sportives. En outre, il faisait partie de l’organisation d’un projet dans lequel au cours du premier week-end de Juillet en Andalousie.
Le dernier séminaire, au Parlement Européen à Strasbourg, a été mon préféré pour le sujet. Nous y avons également visité un musée sur la Seconde Guerre mondiale en Alsace que j’ai vraiment apprécié. De même, j’ai rencontré des gens et des projets futurs qui pourraient plus tard m’intéresser beaucoup, comme des stages professionnels.
Malheureusement, avec le début du COVID-19, j’ai décidé de retourner en Espagne pour faire l’enfermement avec ma famille et faire du télétravail. Nous travaillons maintenant à rentrer à Reims à la fin du mois afin que je puisse continuer et terminer mon bénévolat en France, ainsi que préparer l’examen DELF B2 français et présenter ma thèse universitaire.